Avec cette deuxième pièce de Pagnol, le Croûtion s’inscrit dans la tradition du Théâtre d’été. Pour recréer le port de Marseille, des bateaux d’époques sont remorqués jusqu’à Vérossaz.
Les gens que nous croisons sur la route se demandent, incrédules, sur quel lac nous pouvons bien nous diriger avec un pareil chargement…L’on raconte même que, lors d’une représentation fort arrosée, des figurants auraient hissé les voiles et qu’un méchant coup de tabac aurait eu raison des embarcations. En pleine représentation toute la troupe se met alors à remonter le décor sous la hola des spectateurs.
C’est un immense succès, notre cœur bat encore au rythme des grillons.
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